Beryl Déa
Fiez vous aux apparences.
Informations générales :
Nom : Déa
Prénom : Beryl
Âge : 20 ans
Sexe : Femme
Race : Elfe
Groupe(état) : Denh
Métier : Impératrice de Denh
Avatar / Source : Princesse Zelda / The legend of Zelda
Code du règlement : Validé par Dreimos
Description physique
La première chose qui frappe, quand on regarde Beryl, se sont ses deux grandes prunelles d’un bleu pâle, rappelant cette pierre précieuse appelée aigue-marine. Deux grands yeux qui papillonnent, intéressés de tout et surmontés de longs cils. Ses sourcils sont épais, et blonds un peu plus foncés que ses cheveux qui eux sont d’une couleur d’or, et lui tombent jusqu’en bas des reins. Souvent attachés en une tresse longue à l’arrière, et deux petites devant -la plupart du temps ornées de joyaux, ils sont légers et ondulent au moindre de ses mouvements. Si on continue de regarder son visage, on n’y trouve vraiment aucun défaut. Parfaitement symétrique, un nez à la fois aquilin et retroussé, des lèvres tout aussi fines que charnues, et c'est surtout cette teinte rose qui lui monte aux joues lorsqu’elle se sent gênée lui donnent une allure de femme parfaite. Le seule réel point qui rappelle ses origines elfiques sont ses oreilles pointues, voire, très pointues.
Son corps peut lui aussi être caractérisé de parfait. Svelte et élancé grâce à son entraînement quotidien, mais pourtant tout aussi en chair qu’une femme peut l’être, avec des cuisses et des fesses rebondies, tout comme sa poitrine alors que sa taille est marquée, bien qu’elle soit d'un hauteur modeste pour une elfe.
En ce qui concerne l’habillement, Beryl porte le plus souvent une cotardie aux manches longues de couleurs blanche, avec des rappels roses et dorés. Ses chausses lui montent jusqu’au-dessous des genoux et sont à talonnettes, comme pour lui donner une meilleure allure encore.
Description mentale
Beryl sourit, tout le temps, comme si tout le bonheur du monde sortait de ses lèvres. Elle a la joie de vivre. Elle est travailleuse et aime quand ce travail est bien fait. Perfectionniste ? Un peu, mais il faut bien que quelqu’un fasse du bon travail.
Il se trouve que Beryl ne hait pas les gens moches. Bien qu’éduquée au pays de Denh, elle ne pouvait pas ignorer l’éducation de sa mère, qui était typiquement Melatefl. Cela avait créé des tensions entre ses parents, mais la jeune femme avait su très tôt s’affirmer, et les faire taire tous les deux, se faisant ses propres opinions.
Et d’ailleurs elle est curieuse, et désireuse d’apprendre, car derrière tout ce qui est éphémère - et donc important du royaume de Denh, se cache aussi cette connaissance sur monde, de la botanique de la joaillerie. Elle a cette soif insatiable, bien qu’elle ne sache pas très bien lire.
Mais elle est capricieuse, et de plus en plus portée sur tout ce qui est cher. Parce que ce qui est cher est beau, et ce qui est beau est parfait. Cette recherche de la perfection lui monte parfois à la tête.
C’est une battante, avec son pouvoir, elle aime se défouler – à l’abri des regards maintenant.
Elle n’est pas hautaine. Enfin pas trop, pas envers les gens beaux, et encore moins envers les elfes, élémentaires, hybrides et humaines.
Elle aime qu’on la regarde, et qu’on apprécie ce qu’elle peut faire. Elle aime la reconnaissance, mais reste toujours très modeste.
Un tantinet naïve, elle déteste qu’on se foute d’elle, et croyez-moi, elle est très très très rancunière. Alors ne lui cherchez pas des noises si vous la voulez comme amie.
Pouvoirs
Le pouvoir de Beryl est la matérialisation (ou modélisation) de la lumière. En gros, le principe est simple, quelques soit la source de lumière – qui peut-être le soleil ou une flamme de bougie, Beryl prends les faisceaux de lumière et les condense à l’infini dans ses mains jusqu’à le rendre solide. Mais elle ne peut matérialiser que trois choses, et une par une.
La première est une lyre, aux couleurs dorées, composées de 8 cordes. Deux têtes d’oiseaux ornent les deux extrémités.
La seconde est une épée du style rapière, dont la lame est d’argent et la poignée d’or, ornée de rubans mauves sur la poignée.
Et la dernière est un arc d’or et de lumière, qui fait la taille de Beryl. Ses flèches sont tout aussi lumineuses.
En plus de cela, de ses paumes peuvent elles-mêmes générer une lumière douce qui réchauffe tout ce qu’elle peut toucher, sans brûler toutefois.
Histoire
Après la mort de ses propres parents, la mère de Beryl, décida de quitter Melatefl – son pays natal pour rejoindre celui de Denh. Dès son plus jeune âge, la femme était envoutée par cette quête du beau qui ressortait de cet état. C’était alors partagée entre la peine de quitter tout ce qu’elle avait connu et cette soif d’aventure que l’elfe partit. Mais elle ne se retourna pas, jamais. Elle sentait que l’avenir lui réservait quelque chose de bon.
Grâce à l’or que ses parents lui avaient légué, la jeune femme avait pu s’établir dans une petite maison en ville, à Belladona, y intégrant sont petit commerce. De là, elle commençait de travailler comme botaniste, ses connaissances en plantes étant largement suffisante. Elle gagnait plutôt bien sa vie, partant de temps en temps dans les forêts de Denh pour y trouver de nouveau végétaux. Avec, elle en faisait des onguents, des soins, ou même des parfums par la distillation qui ravissaient les plus belles femmes de Belladona. Femmes dont elle n’avait pas à jalouser, tant sa beauté était grande. Des longs cheveux d’or, et des yeux aussi profonds de l’océan ornaient magnifiquement son visage, éclairé plus encore par son sublime sourire.
Le père de Beryl, quant à lui, était un natif de Denh. Mage qui maîtrisait l’art des pierres précieuses, il tenait un petit commerce de bijoux, dans lequel il menait une vie très calme et très paisible, avec des moyens très aisés. Néanmoins, c’était un homme qui rêvait d‘aventures et d’autres monde, malgré son métabolisme peu… avantageux pour la chose. Très fin, voire légèrement efféminé, le jeune homme qu’il était à l’époque était aussi appréciable que chétif. Cherchant un onguent pour soigner une de ses blessures de guerre - on n’avouera pas qu’il s’était en fait croûté lamentablement dans un fossé, il s’était rendu dans la boutique de l’elfe.
Ce fut un coup de foudre, le vrai. Les balbutiements, les cœurs qui battent la chamade et tout le tralàlà. La confusion entre les deux personnes était attachante. Avoir appris à se connaitre, les deux personnes se mirent en ménage. La beauté de l’elfe ravit les parents du mage, s’était avec plaisir qu’ils la firent entrer dans leur famille de joaillier. Ils installèrent une vie tranquille, trouvant des solutions pour unir l’aspect botanique et le bijoutier dans une même échoppe. La popularité et la renommée de leur petit manège fut quasi immédiate. Mais il leur manquait un dernier petit bonheur.
Et c’est ainsi que Beryl naquit, un matin d’automne, faisant déjà la fierté de ses parents par sa beauté.
- Regarde là, elle est magnifique…
- Comment allons-nous l’appeler ? demanda l’elfe.
- Beryl, comme la famille de pierre de l’aigue-marine, comme la teinte de vos yeux.
Les premières années de Beryl se passèrent dans la paix et l’amour, la petite devenait de plus en plus belle d’année en année, et elle respirait la joie de vivre. Marqué d’un sourire sur son visage à toute heure, elle réchauffait le cœur des gens qu’elle pouvait croiser, aussi bien des belles personnes de Denh comme des plus désagréable, ce qui inquiétait son père.
C’est dans l’année de son dixième anniversaire que Beryl découvrit son pouvoir. La matérialisation de la lumière. Un peu étrange comme pouvoir, surtout qu’elle ne peut matérialiser que trois choses qui n’ont pas à voir grand-chose les unes avec les autres. Une lyre, son premier objet, est un petit instrument de musique. Elle apprit à en jouer seule, composant ses propres morceaux. Et un peu plus tard, elle réussit à matérialiser deux autres objets, une épée au manche d’or, et un arc de lumière. Le père, y voyant un signe, se battu dents et ongles avec un maître pour qu’il lui enseigne les armes, et en voyant la jeune fille, le maître accepta sans réserve.
Les années passèrent, et l’échoppe s’était agrandit, proposant maintenant une salle de spectacle spécialement pour Beryl. Elle faisait des petits concerts de lyre, ou alors des danses, où tout simplement des démonstrations de techniques d’épée, enfin, tout ce qui lui faisait envie. Elle aimait se donner en spectacle, et on aimait la regarder. Elle avait hérité des cheveux blonds de sa mère, ainsi que de son corps élancé et de ses yeux bleus qui reflétaient son prénom. C’était le regard curieux qui était ouvert sur le monde, toujours aussi souriant. Elle était devenue bien plus courageuse, et bien plus forte que ce que son père avait espéré. Le maniement de l’épée et le tir à l’arc n’avait plus trop de secrets pour elle, et il fallait l’avouer, l’aura de beauté qu’elle pouvait dégager durant ses entraînements en faisait succomber plus d’un. Une nouvelle harmonie était née.
Mais rien n’est éternel, et certainement pas la beauté d’une impératrice. Alors, lors des 35 ans de l’ancienne souveraine, des élections commençaient à s’organiser pour un élire une nouvelle. Alors âgée de 20 ans tout pile, Beryl renonça d’abord à l’idée de même de se présenter, pensant qu’elle ne ferait pas le poids face aux autres concurrentes, mais poussée par son entourage qui croyait en elle, et surtout en sa façon d’être et de paraître – contrairement à la précédente impératrice qui était d’un caractère méprisable et ce envers presque tout le monde, elle se laissa séduire et s’engagea dans cette course folle.
Il a eu presque 5 mois de campagne avant l’élection officielle au scrutin direct, et Beryl s’était découverte bonne oratrice et passionnée par cette compétition au pouvoir. Et c’était avec une très grande surprise qu’elle fut élue, faisant couler les larmes de sa mère, de son père et de son maître – qui étaient devenus de grands potos. Les embrassades furent grandes et belles, et les aurevoirs serraient le cœur de la demoiselle qui allait vers une grande destinée. Enfin, jusqu’à ses 35 ans.
La passation de pouvoir se faisait sans problème, et Beryl commençait d’apprendre son nouveau métier : Impératrice.
IRL
Pseudo(s) : Eime
Âge (Interdit au moins de 18 ans!) : 20 ans
Ton niveau de Rp ? Cela dépend
Comment tu nous as trouvé ? J'ai tout codé, wesh
Un petit mot ? Bi... bière ?